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    Un grand nombre d'arbres (une cinquantaine) du parc du château sont actuellement marqués d'un point vert fluo (Merci à zorbec pour l’info – lire ici).

     

     Que se trame-t-il (encore) dans le parc du château ?Que se trame-t-il (encore) dans le parc du château ?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Que se trame-t-il (encore) dans le parc du château ?Que se trame-t-il (encore) dans le parc du château ?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Cliquer sur les photos pour les agrandir

     

    Compte tenu des pratiques de destruction des arbres urbains mises en œuvre par la Municipalité actuelle (lire ici, ici, ici et ici) auxquelles il faut ajouter une volonté d’opacité nettement marquée (lire notamment ici – et j’y reviendrai bientôt, car il y a matière), on ne peut qu’être très inquiet, d’autant que certains sont déjà à terre.

     

     Que se trame-t-il (encore) dans le parc du château ?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Que se trame-t-il (encore) dans le parc du château ?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Arbres déjà abattus au bord de la Sange (dans le parc) : on voit nettement aux coupes qu'il ne s'agit pas d'arbres malades

     

     

    Après les arbres du stade Lionel Jourdain tués par un élagage trop sévère, déjà dénoncé ici, ici et ici, la Municipalité a-t-elle l’intention de poursuivre sur sa lancée destructrice du patrimoine arboré de la commune ?

    Rappelons quand même - il n’est pas interdit de rire ! – ces propos du maire (voir l’Édito du Maire sur le site Internet de la ville, ici) :

    « 

    Nous souhaitons enfin que vous retrouviez sur le web ce qui fait « l’esprit de Sully sur Loire », ce mélange si particulier de respect de l’environnement*, de développement harmonieux et solidaire dans une ville sûre et à l’échelle humaine, une ville où il fait bon vivre. Comme vous le verrez, Sully sur Loire ne manque ni de réalisations ni de projets : équipements sportifs et culturels, nouveau centre de secours, espace multiculturel polyvalent, aménagement et sécurisation des voiries, création de logements individuels ou collectifs, conservation du patrimoine vert avec création d’espaces paysagés ou arborés*, activités économiques… 

    »

    * Surligné par mes soins

     

    Malheureusement, s’agissant de la conservation du patrimoine arboré sullylois, force est de constater que ces propos s’apparentent à de la langue… de bois.

     

     

     

    [Mis en ligne le 1/10/2013]

     

     


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    Rue Foch, ça chauffe ! 

    Les travaux dans la rue Foch

     

     

    En ce moment, vous ne pouvez pas ne pas l’avoir remarqué, il y a des travaux dans la rue Foch : hé oui, on aménage.

    Juste à côté, rue du Bout du Monde, les travaux avancent également, disons, à un train de sénateur.

    Ces travaux me font penser à cette chanson culte des Années folles, où il est aussi question de travaux (ceux du métro parisien). Il s’agit de la chanson « Y’a un quai dans ma rue » [paroles : Paul Briollet, Jules Combe ; musique : Désiré Berniaux (1906)], interprétée ici par Dranem (de son vrai nom Armand Ménard) en mars 1928.

     

     

    On ne s’en lasse pas !

     

     

     

    [Mis en ligne le 29/09/2013]

     

     


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    À Sully, ce sont les cyclistes qui font le trottoir. La quasi-totalité des pistes cyclables existantes se trouvent en effet aménagées sur les trottoirs. À ma connaissance, seule la bande cyclable aménagée sur le Chemin de la Levée (qui, du reste, n’a pas de trottoir !), notamment pour permettre le contre-sens jusqu’à l’avenue de Béthune – ce qui constitue une excellente initiative –, et celle réalisée dans la rue des Médecins et la rue Kléber ne sont pas « aménagées » sur le trottoir, mais sur la chaussée. Autrement dit, seules les pistes cyclables aménagées rue des Médecins et rue Kléber ne sont pas – volontairement – situées sur un trottoir !

     

    Le trottoir/piste cyclable de la route d’Orléans : la mairie pédale dans la semoule (et les petits cailloux rouges)

    Le trottoir/piste cyclable de la route d’Orléans : la mairie pédale dans la semoule (et les petits cailloux rouges)

    Le trottoir/piste cyclable de la route d’Orléans : la mairie pédale dans la semoule (et les petits cailloux rouges)

    De haut en bas : pistes cyclables rue des Médecins, rue Kléber et Chemin de la Levée

     

    L’aménagement de pistes cyclables sur les trottoirs n’est pas un mal en soi si cet aménagement est bien pensé. C’est par exemple le cas du cheminement cyclable vers le collège, sur le trottoir droit (direction Gien) de la rue du Faubourg Saint-François/route de Gien. Impeccable. Rien à redire. Grand luxe. Signe, en creux, que le vélo est encore considéré par nos décideurs comme un « truc de jeune ». En clair, pour nos décideurs, le vélo, c'est un moyen de transport provisoire... en attendant d’être en âge d’avoir la bagnole qui fait vroum.

    À un niveau moindre, la piste aménagée sommairement sur le trottoir droit (en allant vers le centre-ville) de la rue du Coq est correcte (pas de gravillons non stabilisés propices aux dérapages).

     

    Le trottoir/piste cyclable de la route d’Orléans : la mairie pédale dans la semoule (et les petits cailloux rouges)

     

    À cet égard, le carton rouge revient bien évidemment à la piste/trottoir du pont routier utilisée pour l’itinéraire de la Loire à vélo, qui est tout sauf une piste cyclable sécurisée et sécurisante (lire ici, ici et ici).

    La création d’une piste cyclable sur la route d’Orléans (entre le giratoire et la sortie de ville) répond évidemment à un objectif de sécurité louable, à savoir éloigner les cyclistes de la chaussée, et notamment les mettre à l’abri des nombreux poids lourds qui y circulent (poids lourd semi-remorque : 40 tonnes environ ; vélo : 15 kg environ, soit 0,015 tonne !).

    Problème : le revêtement en petits cailloux rouges est extrêmement instable et donc dangereux. À la moindre seconde d'inattention, la roue avant se dérobe. Pas question de freiner en urgence, sinon c’est le dérapage garanti. Pas sécurisant du tout…

     

    Le trottoir/piste cyclable de la route d’Orléans : la mairie pédale dans la semoule (et les petits cailloux rouges)

    Les petits cailloux rouges du trottoir/piste cyclable de la route d'Orléans

     

    Quelle idée saugrenue d’avoir utilisé ce type de revêtement non stabilisé en gravillons rouges pour aménager une piste cyclable ! Pourquoi ne pas avoir aménagé une piste cyclable en dur ou en stabilisé, comme celle qui longe la route de Gien ?

     

    Le trottoir/piste cyclable de la route d’Orléans : la mairie pédale dans la semoule (et les petits cailloux rouges)

    Piste cyclable de la route de Gien (vers le collège)

     

    Ce serait déjà suffisamment problématique si les riverains ne se plaignaient pas en plus de ces gravillons rouges qui s’invitent intempestivement dans les jardins et les maisons. La Mairie leur a répondu qu’il suffisait de patienter, que le problème allait disparaître comme par enchantement (certains croient encore aux miracles !), qu’il était urgent d’attendre et que, finalement, tout allait bien.

    Pour résumer, aucun doute : ceux qui ont aménagé la « piste cyclable » de la route d'Orléans ne l’ont jamais testée à vélo, sinon ils se seraient immédiatement et immanquablement rendu compte du problème. Évidemment, sur le papier, il n’y a que le stylo qui dérape…

     

     

     

    [Mis en ligne le 27/09/2013]

     

     


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