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    On avait parlé ici en juin dernier de la saleté du bas-relief représentant l’évêque Maurice de Sully, père de Notre-Dame de Paris, sur la façade de l'église Saint-Ythier.

    On avait eu comme info qu’il allait être traité par un produit anti-mousse agissant par photosynthèse. On était content de le croire.

    Bof…

     

    Avant l'anti-mousse (10/06/2013)

    Du mou dans l’anti-mousse 

     

    Après l'anti-mousse (29/04/2014)

    Du mou dans l’anti-mousse 

    Photos B. M.-S. - Cliquer sur les photos pour les agrandir

     

    Pas surpuissant l’anti-mousse…

    Sauf à considérer que c’est lui qui a dissous les deux petits projecteurs blancs placés de part et d’autre du bas-relief de la cathédrale (voir photo de juin dernier). Un drôle d’anti-mousse !

     

    |Merci à B. M.-S. pour les photos et l'idée du billet|

     

     

     

    [Mis en ligne le 1/05/2014]

     

     


    7 commentaires
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    Le Val de Loire est désormais inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Ce n’est pas tout, mais ce n’est pas rien.

     

     

    Le front de Loire communal a-t-il vocation à se transformer en parc de stationnement permanent ?

    Socle du girouet Patrimoine mondial de l'UNESCO (près du pont) - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

     

     

     

    On pourrait imaginer que ce classement impose un minimum de précautions pour préserver, ou au moins ne pas abîmer plus qu’il ne faudrait, le front de Loire communal.

     

    Dans cette optique, faut-il que la Municipalité laisse le Chemin de la Levée se transformer en parking ? Faut-il créer encore plus de places de stationnement alors qu’on sait que, de toute façon et quoi qu’on fasse, il n’y en aura jamais assez ?

     

     

     

     

    Chemin de la Levée transformé en parc de stationnement - Cliquer sur les photos pour les agrandir

     

     

     

    L’esplanade du château (Chemin de la Salle Verte) n’est déjà qu’un vaste parking. Depuis Saint-Père et la rive nord, lorsque ce parking est plein, il faut bien avouer que le spectacle ne brille pas par sa qualité. Il n’est pas à la hauteur en tout cas d’un site protégé. On a l’impression qu’un concessionnaire auto multimarques s’y est installé. Rien n’est prévu pour dissimuler à la vue ce parking depuis l’autre rive, à défaut de le réduire. On ne voit que lui. C’est laid, toutes ces voitures au pied du château. Sur un parking de supermarché, les voitures sont dans le ton, mais là…

     

     

     

     

    Le Chemin de la Salle Verte et l'esplanade-parking vue de la rive nord - Cliquer sur les photos pour les agrandir

     

     

     

    L'aire de stationnement des camping-cars pourrait également à notre avis être dissimulée par une haie de végétaux suffisamment haute pour qu’on ne la voie pas depuis la rive nord. Là aussi, on dirait qu’un concessionnaire de camping-cars s’est installé à demeure… On ne trouve pas cela particulièrement réussi. Même si le traitement n’était que cosmétique, il aurait au moins le mérite d’exister.

     

    Décidément, notre pauvre château est bien malmené : poids lourds qui défilent en rangs serrés dans l’avenue de Béthune ; accumulation de voitures garées à ses pieds. Tout cela est assez moyen (lire ici).

     

    Sully mérite sans aucun doute de figurer, avec le Val de Loire, au patrimoine mondial de l’UNESCO, mais, à n’en pas douter, avec un peu de motivation, notre cité doit pouvoir faire mieux que de laisser son front de Loire se transformer – et se dégrader – en parc de stationnement permanent à ciel ouvert.

     

     

     

     

     

    [Mis en ligne le 29/04/2014]





    8 commentaires
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    On l’a déjà fait remarquer ici et ailleurs (ici et ), les panneaux et les poteaux sullylois sont l’un des charmes de notre cité.

    Nouvel exemple, rue des Épinettes (déjà évoquée ici).

     

     

     

    Attention, le poteau !!!!!!!!…

    Poteau sur un trottoir de la rue des Epinettes - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

     

     

     

    Pour ceux qui l’ignoreraient, la chaussée de cette rue est utilisée intensivement par les innombrables poids lourds semi-remorques qui contournent le centre-ville, parfois à la queue-leu-leu, avant de rejoindre la route de Cerdon et de se rendre à KronoFrance. Tout ça pour dire que les piétons ont intérêt à se faire tout petits… De là à descendre du trottoir vaguement protecteur pour s'aventurer sur la chaussée... Avec une poussette ou en fauteuil, inutile de dire que c'est mission impossible.

     

    Vous allez me dire : oui, mais il y a 20 centimètres entre le poteau et le mur ; c’est simple, il suffit de passer par là.

     

    Y’a qu’à…

     

     

     

     

     

     

    [Mis en ligne le 26/04/2014]








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