• Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)

    Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    D’où que l’on arrive, Sully-sur-Loire se signale de loin par plusieurs gros panaches de fumée blanche plus ou moins visibles selon l’endroit d’où l’on vient, le sens du vent et sa force. Lorsqu’on arrive perpendiculairement à ces panaches, l’effet est assez spectaculaire. Si le ciel est noir, juste avant un orage d’été par exemple, le spectacle est même assez grandiose.

    Ces volumineux panaches, au nombre de six, sont ceux de l’usine Kronofrance (deux panaches), à Sully même, et ceux – quatre quand toutes les tours de refroidissement sont en activité – de la centrale nucléaire de Dampierre-en-Burly, à 11 kilomètres de là.

    De loin, ces panaches sans cesse changeants – essayez à voix haute – signalent la ville de Sully-sur-Loire bien plus que son château – qui n’apparaît en fait qu’au tout dernier moment et fait bien pâle figure face aux géants de fumée, même s’il est en bonne place sur les cartes postales et autres documents à vocation touristique.

    Ces panaches, presque horizontaux lorsque le vent souffle fort, tendus en ligne droite dès leur sortie des cheminées ou des tours de refroidissement, se déploient tranquillement, par une journée sans vent, montant lentement, presque paresseusement, à l’assaut du ciel.

    Sujets de choix pour le photographe, ils s’opposent à l’épaisseur solide, massive et immobile du château, qui leur vole – peut-être injustement – la vedette.

    Ces somptueux panaches de fumée, visibles de si loin, changeants mais toujours présents, ne seraient-ils pas finalement les véritables stars de Sully ?

     

     

    [Mis en ligne le 7/01/2013]

     

     

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  • Commentaires

    1
    Comment j'mappelle
    Mardi 30 Avril 2013 à 14:39

    Vous m'avez bien eu. Je ne m'en étais pas aperçu avant, mais maintenant je ne vois plus que ces gros panaches quand j'approche de Sully. Impossible de faire autrement maintenant. C'est vrai qu'ils sont immanquables mais je ne les remarqauis pas avant. C'est une révélation! Bien joué.

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