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    À l’angle de la rue du Grand Sully et de la rue Jean Jaurès (c'est-à-dire en pleine rue commerçante) se trouvent, depuis fort longtemps (surtout pour celui de gauche vu depuis la rue du Grand Sully), deux locaux commerciaux vides. Que voulez-vous, le petit commerce de centre-ville rencontre, dans notre commune comme presque partout ailleurs (lire également ici « Comment la France a tué ses villes »), mais pas pire qu’ailleurs, quelques difficultés.

     

    Faut-il laisser des devantures commerciales vides à l’abandon ? 

    Faut-il laisser des devantures commerciales vides à l’abandon ?

    Faut-il laisser des devantures commerciales vides à l’abandon ?

    On peut faire beaucoup mieux de nos jours que la peinturlure blanche sur les vitrines...

     

    Les spécialistes de la question nous disent par ailleurs que les commerces fermés sont une véritable plaie pour ceux qui restent ouverts, ce que l’on veut bien croire sans difficulté.

    Partant de ce constat, ne pourrait-on pas envisager, au niveau de la commune, d’habiller ces devantures vides et mortes ? On voit dans certaines villes les vitrines de commerces qui ne sont plus en activité décorées de vitrophanies (photos anciennes des lieux, agrandissements de cartes postales, trompe-l’œil, etc.) ayant au moins le mérite de « cacher la misère » et d’éviter autant que faire se peut cet effet d’abandon ?

    C’est d’ailleurs ce que l’on voit sur les vitrines de la nouvelle supérette (à qui on souhaite longue vie) située à l’angle de la rue Jean Jaurès et de la rue aux Pommes. C’est plutôt réussi, surtout si l’on compare avec ces mêmes vitrines sans vitrophanies (voir les photos ci-dessous).

     

    AVANT (sans vitrophanies)

    Faut-il laisser des devantures commerciales vides à l’abandon ? 

     

    Faut-il laisser des devantures commerciales vides à l’abandon ?

     

    APRÈS (actuellement, avec vitrophanies)

    Faut-il laisser des devantures commerciales vides à l’abandon ?

     

    Faut-il laisser des devantures commerciales vides à l’abandon ?

     

    Faut-il laisser des devantures commerciales vides à l’abandon ?

     

     

    Ça donne envie d'essayer, non ? 

     

     

    [Mis en ligne le 16/03/2017]

     


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    Rien de plus facile.

    Rendez-vous demain devant le cinéma, au saut du lit. Il y aura, nous dit-on, des croissants pour tout le monde. Enfin, c’est pas sûr non plus… surtout s’il y a beaucoup de monde. Et peut-être que Depardieu ne sera même pas là. On parle aussi de Jean-Noël, de Jean-Luc, voire de Monsieur 2F (dans le rôle de M. Legredin, un rôle entièrement de composition, nous assure-t-on). À l’heure actuelle, comment être certain de quelque chose ? C'est bien ennuyeux.

    On ne vous dit que ça...

     

    Vous voulez (aperce)voir Gérard Depardieu ?

     

     

     

    [Mis en ligne le 14/03/2017]

     


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    Le procès verbal du conseil municipal du 26 janvier (lire l’extrait ci-dessous) mentionne le projet d'aménagement du boulevard Jeanne d’Arc. Le bulletin municipal Sully Mag de janvier dernier (n° 11, page 14, ci-dessous) nous parle même d’une « coulée verte » dans le centre-ville « en commençant par le boulevard Jeanne d’Arc ».

     

    Réaménagement du boulevard Jeanne d’Arc : de quoi parle-t-on ?

    Extrait du procès verbal du conseil municipal - Cliquer sur l'image pour l'agrandir

     

     

     

    Réaménagement du boulevard Jeanne d’Arc : de quoi parle-t-on ?

    Extrait de Sully Mag - Cliquer sur l'image pour l'agrandir 

     

    Si les mots ont un sens, le « boulevard » se compose de trottoirs, d’une chaussée et de ce qui est aujourd’hui un parking (un mail piétonnier autrefois). Un réaménagement de ce « boulevard » entraînerait donc un réaménagement des trois entités qui le composent.

    Or, la petite infographie jointe ne nous présente que la partie parking du boulevard. Vous aurez également noté la présence de voitures et l’absence totale de piétons…

    On se demande dès lors si ce réaménagement du boulevard va effectivement concerner l’ensemble de la surface ou s’il va uniquement concerner la partie parking de celui-ci. Connaissant l’histoire d’amour qui unit la municipalité et les parkings, on avoue avoir une petite idée...

     

    [Mis en ligne le 11/03/2017]

     


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