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Le Val de Loire, l’UNESCO et les centrales nucléaires
Ils n’aimeraient pas les centrales nucléaires, à l’UNESCO ? (Voir ici les circonvolutions du périmètre du Val de Loire classé au Patrimoine mondial de l’UNESCO évitant soigneusement les centrales nucléaires de Chinon-Avoine, Saint-Laurent des Eaux et Dampierre-en-Burly. Carte Google Maps. À droite de la page, dans la rubrique « Patrimoines », cocher la case « Patrimoine mondial » puis agrandir la carte en zoomant. Le périmètre du Val de Loire inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO est délimité par un trait bleu)
Les centrales nucléaires, c’est pourtant bel et bien du patrimoine, et du-qui-va-durer-longtemps (lire ici, là ou encore là et regarder le reportage de France 3 « Brennilis, la centrale qui ne voulait pas s’éteindre » ci-dessous).
Si demain, pour une raison ou une autre, disons, au hasard, en cas de Fukushipierre ou de Dampnobyl, la zone devait être définitivement évacuée pour très, très longtemps, il y a fort à parier que c'est la centrale nucléaire et ses tours de refroidissement en béton surarmé qui survivraient au malheureux petit château de pierre de Sully-sur-Loire, même estampillé vaillante « forteresse ».
Pauvre petit château ! Et c’est lui qu’on classe au Patrimoine mondial, alors qu’il n’a aucune chance face aux tours géantes...
[Mis en ligne le 4/08/2013]
« Le sas vélo pour les nuls Angle de la rue du Grand Sully, de l’avenue de Béthune et de la rue du Faubourg Saint-Germain »
Tags : centrale nucléaire, patrimoine mondial de l'UNESCO, Val de Loire, Brennilis, centrale nucléaire de Dampierre-en-Burly
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