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    À peine née (1er décembre 2012), déjà – bientôt – morte (31 décembre 2016)… tel est le sort peu enviable de notre communauté de communes préférée, celle du Sullias.

    À Sully-sur-Loire, mode d’emploi, nous sommes les seuls à vous montrer (photos à l’appui) pourquoi la décision de mettre un terme à cette communauté de communes a été prise. À mille lieues des prétextes couramment invoqués, inutile de vous faire un dessin, c’est un scoop, un vrai. La République du Centre et Le Journal de Gien n'ont qu'à bien se tenir…

    Pourquoi, donc ? Vous l'avez peut-être vous-même remarqué : les panonceaux « Communauté de communes du Sullias » ajoutés aux panneaux d’entrée des communes concernées suite à la création de cette communauté de communes (lire ici « Bonjour Communauté de communes du Sullias. Adieu Sologne ! ») sont devenus peu à peu illisibles, défraîchis, usés et pâlis par les éléments (voir photos ci-dessous).

     

    Les Shadoks à la comcom

     

    Les Shadoks à la comcom

    Panonceaux en coma dépassé de la future ancienne Communauté de communes du Sullias, à l'entrée de la commune. Comcom... communication ! Il fallait changer tout ça.

     

     

    Dès lors, il était devenu urgent de changer de comcom pour avoir enfin l’occasion de changer les panneaux et de les remplacer par de nouveaux panneaux bien lisibles, flambant neufs. Ceci dit, si ces nouveaux panonceaux ne sont pas de meilleure qualité, il est probable qu'il faille à nouveau modifier la comcom dans 5 ans. Pas grave. Vous connaissez l’histoire du type qui change de voiture parce que le cendrier est plein. Les Shadoks avaient déjà tout compris…

     

     

    Les Shadoks à la comcom

     

     

     

     

    [Mis en ligne le 9/12/2016]

     


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  • Il est interactif, notre château. C’est lui-même qui nous le dit sur son site web, ici.

    Dommage qu’il se prenne un peu les pieds dans le tapis (de souris). Mais, bon, il n’est plus tout jeune non plus…

    Les quelques copies d’écran ci-dessous nous en fournissent malheureusement plusieurs exemples (cliquez sur les copies d'écran pour les agrandir).

     

    Le château interactif 

    « une poussée une poussée » et « tout risque d'écratement » (pour écartement)

     

     Le château interactif

    Le mot « vocation » est féminin

     

    Le château interactif 

    « l'on admirer »

     

    Le château interactif 

    « il est flanque que de 4 tours »

     

    Voilà de quoi mettre en œuvre un petit ravalement de façade pour le plus grand bonheur de tous... C'est pas beau, ça ?

     

    [Mis en ligne le 6/12/2016]

     

     


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    S’il vous arrive – ce qu’à Dieu ne plaise – de lever les yeux pour regarder les toits de nos bâtiments reconstruits après-guerre (dans le centre-ville et le quartier Saint-Germain), vous l’aurez sans doute déjà remarqué : très peu de toits sont dépourvus de lucarne(s). On y voit d’ailleurs presque tous les types de lucarnes possibles (nous y reviendrons bientôt). En attendant, petit coup de projecteur sur ce qui est sans doute la plus petite lucarne de la commune. On en profitera pour méditer l’adage « tout ce qui est petit est joli »…

    C’est une lucarne dite « à croupe » (ou « capucine ») comme il en existe des dizaines dans la partie reconstruite de notre commune. Elle est située sur le versant nord du toit du bâtiment de l’Office de tourisme. Étant donné ses très modestes dimensions, il est peu probable qu’elle éclaire beaucoup les combles. Heureusement qu’elle est épaulée en la matière par six lucarnes (à croupe également) aux dimensions beaucoup plus conséquentes.

     

    En pleine lucarne 

     

    En pleine lucarne

     

     

    Ceci étant, si vous en apercevez une de dimensions encore plus réduites, merci de nous le faire savoir !

     

     

     

    [Mis en ligne le 3/12/2016]

     


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