Aujourd’hui, nous vous proposons un jeu de piste sur le site Web officiel de notre commune.

Si vous suivez ce blog, vous le savez (et certains d’entre vous le disent dans leurs commentaires), le site Web officiel patauge quelque peu dans la semoule.

Prenez par exemple la page consacrée au Plan local d'urbanisme (P.L.U.) en cours d’élaboration.

Vous lisez comme nous dans le deuxième paragraphe qu’il est possible de « Voir le document téléchargeable, en fin de page ».

Et, vous l’avez compris, c’est là que commence le jeu de piste. Nous vous invitons en effet à découvrir le « document téléchargeable » en question « en fin de page ». Bonne recherche, sur la copie d'écran ci-dessous et en direct sur le site Web officiel lui-même.

Copie d'écran de la page Web du site officiel - Cliquer sur l'image pour l'agrandir

[Mis en ligne le 9/06/2017]

Dans un contexte de renaissance de la végétation spontanée en ville suite à l’interdiction depuis le 1^er janvier 2017 des produits dits « phytosanitaires » chimiques nocifs pour l’air, l’eau ainsi que pour l’homme et les autres animaux, nous allons accueillir avec bonheur sur nos trottoirs et ailleurs des plantes spontanées, souvent encore appelées par certains « mauvaises herbes », qui, jusque là, étaient détruites sans coup férir par des molécules issues de la chimie de synthèse dont on sait depuis déjà longtemps qu’elles ne font pas que zigouiller les « mauvaises herbes », mais qu’elles s’en prennent aussi aux « bons hommes », et notamment à leur bonne santé (et les « écolos », comme on l’entend souvent dire, n’ont aucune responsabilité là-dedans ; on ne peut pas en dire autant des grands groupes de la chimie !).

Bref, aujourd’hui, petit coup de projecteur sur une petite plante commune de nos murs qui, cerise sur le gâteau, est, en plus, comestible (si vous n’avez pas encore eu l’occasion d’y goûter, la feuille crue a un peu le goût du cresson, en plus acide quand même). Son nom commun, « ruine-de-Rome », désigne en réalité la cymbalaria muralis, c’est-à-dire la cymbalaire des murs (ou des murailles, c’est selon). Des vieux murs en vraie pierre, pas des murs en parpaings…

Cymbalaire des murailles, dite « ruine-de-Rome » (muraille de l'ancienne enceinte, Promenade des Douves) - Cliquer sur les photos pour les agrandir

Si vous voulez y goûter, n’arrachez surtout pas celle qui pousse sur la muraille de la Promenade des Douves ! Il y en a bien d’autres ailleurs ! Ouvrez l'œil !

[Mis en ligne le 7/06/2017]

Souvenez-vous. La saga était ici « L’envol des jardinières ». Pour résumer, les deux jardinières de cette partie de la rue du Coq, présentes en 2015, avaient disparu l'année dernière... avant de faire leur grand retour ce printemps (photo ci-dessous).

Les deux jardinières de nouveau présentes - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

Les voici revenues, pour égayer les conteneurs du point d’apport volontaire de notre Sictom préféré, qui, très souvent, en ont bien besoin, d’être égayés, les conteneurs (deux preuves ci-dessous).

Dépôts (de) sauvages indignes du civilisé moyen (points d'apport volontaire de la rue du Coq) - Cliquer sur les photos pour les agrandir

Bref, un double bravo aux services de fleurissement. CQFD.

Questions subsidiaires : combien y a-t-il de jardinières communales et, dans la rubrique Fleurissement et Transparence, combien coûte globalement le fleurissement de notre bonne commune ? Et, pendant que nous y sommes, quid des solutions pour lutter contre les dépôts sauvages ? Bref, aujourd'hui, que des questions qui fâchent !...

[Mis en ligne le 4/06/2017]