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    Mais où diable est-il passé, l’arbre du lavoir de la rue de la Blanchisserie ? Il était bien, pourtant, prêt à offrir son ombre aux personnes assises sur le banc tout proche (qui, lui, est toujours là).

     

    Auprès de mon arbre (Avis de recherche)

    L'arbre du lavoir est bel et bien là, juste devant le banc, en août 2012, date de la photo Google (merci Google pour cette archive) - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

     

     

    Auprès de mon arbre (Avis de recherche) 

    Aujourd'hui, il a disparu... Sans doute est-il trop coûteux d'en replanter un autre. - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

     

     

    Amis lecteurs, si vous le rencontrez au cours d’un de vos déplacements dans la commune, merci de le signaler à la Mairie.

     

     

    [Mis en ligne le 27/11/2018]

     


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    Mairie d'hier et d'aujourd'hui

    L'ancienne mairie, rue Porte de Sologne (à l'emplacement de l'actuelle pharmacie Kuypers) - Photo tirée du livre de Dany Lemelin, Sully-sur-Loire, à la recherche du passé suspendu

     

     

    La photo ci-dessus nous montre l’ancien hôtel de ville, détruit lors du bombardement de juin 1940. Il se situait à l’emplacement de l’actuelle pharmacie Kuypers bien connue de tous les Sullylois(es), rue Porte de Sologne (lire également ici « Et l’hôtel de ville devint pharmacie »).

     

    Reconstruit après-guerre à l’emplacement que nous lui connaissons aujourd’hui, l’hôtel de ville a été inauguré début 1958 (la première réunion du conseil municipal s’y est tenue en mars 1958). La photo ci-dessous a probablement été prise peu après (fin des années 1950 ou début des années 1960).

     

     La nouvelle mairie dans les années 1960

    Mairie d'hier et d'aujourd'hui

    La nouvelle mairie (inaugurée en 1958) - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

     

     

    La nouvelle mairie aujourd'hui (en noir & blanc)

    Mairie d'hier et d'aujourd'hui

    Les tilleuls de la place Maurice de Sully ont poussé et les fils électriques ont disparu  ! - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

     

     

    [Mis en ligne le 24/11/2018]

     


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    À cette époque, les cyprès chauves (Taxodium Distichum) du bord de Sange (Promenade des Douves) perdent leur abondante toison, qui forme un épais tapis un tantinet pelucheux dans les parages.

    Un beau tapis tout à fait dans les coloris de la saison.

    La calvitie totale est pour très bientôt… Pas de doute, l’hiver approche...

     

    Les cyprès-que chauves 

     

    Les cyprès-que chauves 

     

    Les cyprès-que chauves

     

    Les cyprès-que chauves

     

     

    Pour en savoir un peu plus sur nos cyprès chauves, lire également ici et ici.

     

     

    [Mis en ligne le 21/11/2018]

     


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    Destructions majeures des années 1940 (bombardements de 1940 et 1944) obligent, les bâtiments anciens (privés ou publics) antérieurs à ces années ne sont pas légion dans notre bonne commune.

    De fait, (très) rares sont ceux qui portent visiblement (en façade notamment) une date antérieure à ces années-là. D’ailleurs, à notre connaissance, aucun des bâtiments de la Reconstruction d'après-guerre ne porte de date. Raison de plus pour regarder de plus près les (très) rares bâtiments qui en portent une. Nous n’en avons repéré que deux…

     

    Ça commence à dater 

     

    Ça commence à dater

    Le Café de la Gare (angle de la rue des Épinettes et de l'Avenue de la Gare). Peut-être un lecteur sait-il ce que signifient les initiales « H G » - Cliquer sur les photos pour les agrandir

     

     

    La maison de marinier de la Place St-Germain est nettement antérieure : elle porte la date de 1679.

     

    Ça commence à dater 

     

    Ça commence à dater

    1679. Qui dit mieux (plus ancien) ? - Cliquer sur les photos pour les agrandir

     

     

    Ce (très) petit tour d’horizon n’est sans doute pas exhaustif : il n’est pas impossible (il est même très probable) que d’autres dates subsistent sur d’autres façades qui ne sont pas visibles depuis l’espace public.

    Chers lecteurs, si vous avez eu l’occasion d’en repérer d’autres, n’hésitez pas à nous contacter (rubrique « Contacter l’auteur »). Nous compléterons grâce à vous l’inventaire.

     

     

    [Mis en ligne le 18/11/2018]

     

    Mise à jour (18/11/2018)

     

    Merci à Athéna, fidèle lectrice et observatrice attentive, qui me transmet cette photo d'une date (1734 ou 1754), de deux initiales et de quelques signes gravés dans un écusson, sur le linteau d'une porte ancienne, rue de la Vieille Prison. Grand merci !

     

    Ça commence à dater

     

     

     


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    Ce samedi 17 novembre n’est pas un samedi comme les autres. C’est du moins ce que d’aucuns voudraient nous faire croire en allant rouler pare-choc contre pare-choc un samedi, alors qu’ils le font habituellement le lundi, le mardi, le mercredi, le jeudi et le vendredi dans ce qu’ils ont coutume d’appeler des « bouchons ». À croire qu’ils aiment ça…

    D’autres usagers de la route, qu’on entend beaucoup moins, sont également très mécontents, et pour le même motif que ceux mentionnés ci-dessus. Je veux parler des cyclistes. Savez-vous que l’essence à bicyclette a augmenté dans des proportions autrement plus importantes que l’essence à voiture. Savez-vous que, depuis l’immédiat après-guerre jusqu’à ce jour, l’essence à bicyclette a vu son prix à la pompe (à vélo) multiplié par 15 000. Oui, vous avez bien lu : par 15 000.

    Prenez le prix d’un litre d’essence à bicyclette en 1950 ; il était de 0 (ancien) franc, 0 centime. Aujourd’hui, ce même litre d’essence à bicyclette a été multiplié par 15 000 et coûte donc 0 euro, 0 cent (15 000 x 0 = 0) : 15 000 fois plus !

    Et c’est sans compter les 80 % de taxes qu’un État voyou a imposées sur ce litre d’essence à vélo, soit encore 0 euro, 0 cent en sus. Quand finira-t-on de saigner ainsi aux quatre veines le cycliste, rude travailleur mais petit épargnant ?

    Trop, c'est trop. La coupe est pleine.

    Ami(e)s cyclistes, prenons la seule décision qui s'impose : arrêtons le vélo, roulons en voiture !

     

     

    Maillot jaune

     

     

     

     

    [Mis en ligne le 15/11/2018]

     


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