J’avais parlé ici le 21 mars de la destruction extravagante de la belle haie de pyracanthas à l’angle de l’avenue du Hameau et de la rue René Cassin et de son remplacement par quelques pieux en bois sans élégance plantés à la hâte.

Pour mémoire

Aujourd'hui

J’espérais alors, sans le dire tant cela me semblait évident, que tout cela était provisoire et que quelque chose de plus présentable et de raisonnablement esthétique allait suivre.

À ce jour, force est de constater que ce que je prenais pour du provisoire est en réalité, malheureusement, du définitif. Comme on dit : plus moche, tu meurs.

Ce traitement qui consiste à arracher une superbe haie de plusieurs dizaines de mètres pour la remplacer à la va-vite par quelques mauvais pieux en mauvais bois vaut tout un discours. Les gens qui habitent aux alentours de la rue René Cassin savent maintenant dans quel mépris on les tient et pour quels gens de peu on les prend.

[Mis en ligne le 16/08/2013]