Aïe ! Il semblerait que la place de la Trémoille soit sur les plans du réaménageur.

Si vous aimez les tilleuls de cette place, le parfum de leurs fleurs et leur ombre bienfaisante l’été, je crains qu’il ne faille vous hâter d’y faire un tour et de prendre quelques photos en souvenir. Les petits arbres en pot (lire ici) ne devraient pas tarder à faire leur apparition… une fois les vrais arbres abattus (coutume locale actuelle oblige).

Il ne restera plus alors qu’à arroser copieusement les « petits arbres en pot » et à s’abriter du soleil sous des parasols en plastique...

[Mis en ligne le 7/05/2013]

Sur cette photo de 1967 prise par B M-S, qui me l’a gracieusement communiquée (qu’il en soit ici chaleureusement remercié), on aperçoit encore en arrière-plan les piles de l’ancien pont suspendu (qui s'est effondré le 16 janvier 1985). On remarque également que le pont aux Prêtres (lire ici) n’a pas encore été reconstruit (il faudra attendre le 2 avril 1994, jour de son inauguration, pour pouvoir l’emprunter à nouveau) et que la tour ouest, dite tour de Villebon, n’a pas encore été transformée (avec le bonheur que l’on sait !...).

[Mis en ligne le 5/05/2013]

Suite au commentaire d’Elisab du 15 avril dernier sur le billet « Les Sullylois seraient-ils des cow boys ? » (lire ici) où il/elle mentionnait la présence de « barrières » dans l'allée des Jardiniers, je suis allé voir sur place ce qu'il en était. Ce que j’ai découvert est pour le moins surprenant !...

Dix photos pour un désastre, ci-dessus.

On imagine sans peine que ces éboulements ne se sont pas produits en un jour et que le (très) mauvais état des pieux en bois qui maintiennent la rive ne remonte pas à la semaine dernière. Ces éboulements seraient-ils d’ailleurs la conséquence de l’arrachage de la haie et son remplacement par une barrière en bois (voir le billet mentionné ci-dessus) ?

À l’heure où la Municipalité « aménage » et « restaure » en détruisant ce qui est en parfait état (square du Souvenir, jardin du centre F. Kuypers, notamment), il est surprenant de constater qu’elle laisse par ailleurs, à deux pas du centre-ville, sans apparemment rien entreprendre (sauf à poser des barrières métalliques en doublement de la barrière en bois), des lieux en si mauvais état, qui nécessiteraient vraiment, en priorité et en urgence, d’être « restaurés », au risque d'être à l’origine d’accidents. Qui serait alors responsable ?

C’est sans doute un exemple parmi d’autres, mais il me semble révélateur d’un sens singulier de l’urgence et des priorités en matière de réaménagement.

Comprenne qui pourra !

[Mis en ligne le 3/05/2013]