Octobre 2010. La dernière petite épicerie sullyloise, située à l’angle de la rue des Écoles et de la rue du Grand Sully, ferme ses portes. Fin d’une époque.

Elle a été remplacée par un magasin d’optique. Pour une fois, ce n’est ni une agence bancaire, ni une agence immobilière. C’est déjà ça.

Et, ci-dessous, sur Street View de Google...

Il faudra désormais apprendre à manger des lunettes…

[Mis en ligne le 10/04/2013]

Ingénieux, le positionnement de ce poteau dans la rue des Barrés, en plein milieu du trottoir…

Au fait, vous êtes plutôt droitiste, gauchiste ou capitainehaddockiste (Hergé, Tintin au Tibet) ?

[Mis en ligne le 8/04/2013]

La biscuiterie Rougier, zone de la Pillardière

On en a de la chance, à Sully, d’avoir une biscuiterie encore en activité !

Quand une fournée est en cours et que le vent est au sud, quel bonheur ! Tout le centre-ville se trouve envahi par une odeur des plus appétissantes ! Difficile de rester indifférent. Et c’est gratuit ! Tant pis pour ceux qui n’aiment pas les biscuits !

Profitons-en ! Hé oui, malheureusement, le vent n’est pas toujours au sud…

Comme le dit la réclame, Rougier est biscuitier depuis 1933. Pourvu que ça dure encore longtemps !

Pour info :

Le magasin d’usine est situé à l’angle du boulevard du Champ de foire et de la rue Porte de Berry.

Lire également ici et là.

[Mis en ligne le 6/04/2013]

C'est connu : les cyclistes ont le cul fragile. Raison de plus pour ne pas en rajouter.

À la sortie de Sully-sur-Loire, chemin de la Salle verte, sur le parcours de la Loire à vélo, on trouve ceci.

C’est peut-être joli (quoique…), mais très désagréable lorsqu’on est à vélo, a fortiori chargé (le vélo, pas le cycliste).

Cent mètres plus avant, le ralentisseur (hé oui, que voulez-vous, il faut toujours les contraindre à ralentir, les automobilistes… C’est tellement facile d’appuyer sur une pédale d’accélérateur qu’il y en a, des candidats à la vitesse…). Mais je suis mauvaise langue. Bref, 100 mètres plus avant, le ralentisseur a cette forme-ci, bien plus avenante pour les fondements cyclistes puisqu’il est facile de passer, entre les deux plots, sur le bitume bien lisse. On peut aussi en voiture, mais sur deux roues (plus compliqué).

Certes, ce dernier ralentisseur me semble moins réussi sur le plan esthétique (pour ne pas dire très laid), mais il est plus commode pour ceux qui empruntent le chemin de la Salle verte à bicyclette, a fortiori si elle est chargée (la bicyclette, pas la commode).

Pourquoi ne pas faire comme en Belgique, aux Pays-Bas, au Danemark ou ailleurs, où, dans les rues pavées, sur le côté droit, on laisse une bande de circulation en bitume (ou autre matériau) d'une quarantaine de centimètres de largeur pour que les cyclistes puissent y circuler sans être contraints de disputer des Paris-Roubaix à répétition ?

Les pavés du ralentisseur actuel commençant à montrer des signes de fatigue, c’est peut-être l’occasion de penser aux cyclos et à la Loire à vélo dans le cadre d’une réfection.

Celui qui prendrait cette sage et utile décision aurait droit à une place bien méritée au paradis de la bicyclette ! C'est déjà ça...

[Mis en ligne le 4/04/2013]

La récente étude, à mille lieues du monde merveilleux et bisounours de la promotion touristique de la Loire, montrant que la totalité de la faune vivant dans ce fleuve présente des taux de pollution impressionnants dus à une quantité non moins impressionnante de molécules chimiques, a de quoi faire frémir.

Fabrice Nicolino, sur son blog « Planète sans visa » (http://fabrice-nicolino.com), nous en dit deux mots. Je lui laisse volontiers la parole :

« 

L’idée de cet article m’est venue après avoir suivi la discussion entamée dans les commentaires accompagnant mon dernier papier sur France Nature Environnement (FNE). Ce que j’en retire : que faut-il sauver de ce qui reste ? Et faut-il d’ailleurs sauver ce qui reste, ces confetti de nature entourés, envahis, demain peut-être engloutis ? Je ne suis pas d’accord avec Xavier Brosse pour opposer les purs […] 

                                                                                                            »

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[Mis en ligne le 2/04/2013]