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    J’avais parlé ici, le 25 janvier, de l’abattage des tilleuls de l’avenue de Béthune devant le monument aux morts en soulignant que, selon toutes vraisemblances, ces tilleuls seraient rapidement remplacés par de petits arbres en pot. Voici ce que je disais :

    « Apparemment, cet espace qui formait un mail en miniature va être remplacé par quelques parterres de fleurs et, sans doute, « agrémenté » de petits arbres en pot (très prisés du maire actuel) qu’il faudra copieusement arroser pendant tout l’été. »

    C’est fait !!!!!!!!!!!!

     

    Ils sont arrivés, les « petits arbres en pot » !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ils sont arrivés, les « petits arbres en pot » !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Reste à compter le nombre de m3 d’eau qu’il faudra l’été pour arroser tous ces petits arbres en pot. Quant à leur capacité à prodiguer une ombre bienfaisante...

     

     

     

    [Mis en ligne le 1/05/2013]

      


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    Non contents d’être « Loirétains, Loirétiens, Loirains ou Ligéritains » (résultat de la consultation organisée par le Conseil général en fin d’année ; pour l’instant, c’est l’appellation « Loirétains » qui semble l’emporter) puisque qu’ils habitent dans le Loiret, les Sullylois sont également « Val-de-Loirais » ou « Valdeloirais » (Val de Loire oblige), mais aussi – excusez du peu – solognots, même si ce n’est que partiellement (en vertu de la loi du 27 juin 1941 et de son décret d’application du 17 septembre de la même année)*.

    Faudrait quand même pas qu’ils se plaignent !...

     

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    *Source consultable ici ou téléchargeable en PDF (liste des communes de Sologne) en cliquant ici.

     

     

     

    [Mis en ligne le 29/04/2013]

     


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    Notre bon maire est contorsionniste. Un jour (propos rapportés dans Le Journal de Gien du 21/03/2013), il annonce que les voitures pourrissent le centre-ville, et notamment la place de la Trémoille (il semble ne pas s’être aperçu que cette place n’est pas un cas à part). Le lendemain, il dit que « le stationnement sera expressément préservé » (panneau d’exposition dans le hall de la mairie à propos du réaménagement du centre-ville). Un autre encore, il déclare qu’il souhaite développer les offres de stationnement en optimisant l’existant et en créant de nouveaux espaces de parking (propos rapportés dans Le Journal de Gien cité ci-dessus).

    J’avoue avoir quelque difficulté à trouver de la cohérence là-dedans.

    Bref, pour le moment, c’est un pas en avant, un pas en arrière.

    À ce stade, il est donc bien difficile de savoir s’il y aura plus ou s’il y aura moins de places de stationnement dans le centre-ville. Avançons prudemment qu’il y en aura « ploins » ou « mlus ».

     

     

     

    [Mis en ligne le 27/04/2013]

      


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    On fait comment ? Si on s’arrête au niveau de la ligne blanche du panneau Stop, on ne voit pas arriver les véhicules qui viennent à gauche dans l’avenue de la Gare.

    Il faut s’avancer de trois bons mètres pour voir arriver ces véhicules, car, presque toujours, des voitures sont garées aux places de stationnement prévues et gênent totalement la visibilité.

     

    Un STOP bien mal placé (rue du Coq-Avenue de la Gare)

    Rue du Coq-Avenue de la Gare - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

     

    [On aperçoit la ligne blanche du Stop à gauche du panneau de sens interdit]

    Pourquoi ne pas avoir placé le panneau Stop et la ligne blanche trois mètres plus avant puisqu’en l’état, il faut marquer le Stop, redémarrer et marquer à nouveau un arrêt trois mètres plus loin pour vérifier qu’aucun véhicule n’arrive à gauche ?

     

     

    Un STOP bien mal placé (rue du Coq-Avenue de la Gare)

     

    Il est surprenant que ceux qui ont placé le panneau et la ligne blanche d’arrêt à cet endroit-là ne se soient pas rendu compte du problème (soulevé par bon nombre d’usagers). Peut-être qu’aucun des responsables des Services techniques ne passe jamais par là...

     

     

     

    [Mis en ligne le 25/04/2013]

      


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    Sully-sur-Loire à 8 000 mètres d'altitude

     

     

    Voici à peu près ce qu’ont vu les aviateurs alliés américains qui ont bombardé Sully le 4 juillet 1944 (96th Bomb Group, http://96bg.org/, en anglais) et le 6 juillet 1944 (446th Bomb Group, http://www.446bg.com/, en anglais) à 8 000 mètres d’altitude environ, à bord de Boeing B-24.

    En revanche, ils n'ont sans doute pas vu précisément ce que cela avait donné au sol...

    Sources : ici et

     

     

    [Mis en ligne le 23/04/2013]

     


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