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    Cet été – ça ne peut pas vous avoir échappé – il y a comice agricole.

    L’entrée de la ville au Faubourg Saint-François s’est donc ornée d’un superbe coq plus vrai que nature (quoique…). Ben oui, « agricole », donc « ferme », donc « basse-cour », donc « coq ». Vous suivez ? Tout n’est pas négatif : celui-ci ne risque pas de réveiller les voisins. 

     

    Le comice, le coq et l’abeille

     

     

    Personnellement, j’aurais plutôt un faible pour les abeilles, bien plus nécessaires à l’agriculture que le coq. Mais bon, chacun ses priorités…

    Figurez-vous qu’à Sully, il y en a, des abeilles. Il y a même des apiculteurs qui, j’en suis sûr, font ce qu’ils peuvent du mieux qu’ils peuvent. Et dans la situation actuelle, ils ont plutôt du mérite. L’indispensable Fabrice Nicolino nous en dit quelques mots sur son site. Au rythme où se dégrade la situation sanitaire des abeilles, pas sûr que les comices agricoles existent encore au siècle prochain.

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    Comment le gouvernement s’assoit sur le ventre des abeilles

    Publié le 23 mai 2013 - Publié dans Charlie Hebdo le 7 mai 2013

     

    Les abeilles, assurent par la pollinisation le tiers de l’alimentation humaine, mais elles meurent par milliards. L’Europe fait un geste contre les pesticides qui les butent, et Charlie raconte les coulisses.

    Résumons, car cette histoire en a bien besoin. La semaine passée, la Commission européenne a décidé de suspendre pendant deux ans l’usage de trois pesticides, ou plutôt de trois matières actives entrant dans leur composition : l’imidaclopride, la clothianidine et le thiaméthoxame. La grande folie, c’est qu’on sait depuis quinze ans que ces charmants personnages butent les abeilles par milliards. Ces abeilles qui garantissent, par la pollinisation, environ un tiers de l’alimentation humaine.

                                                                                                                                           

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    [Mis en ligne le 10/06/2013]

     


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    Aïe, la tuile ! Espérons que ce ne soit pas le début de la fin pour ce lavoir situé sur le ru d’Oison, rue de la Blanchisserie, et sauvé de la ruine il n’y a pas si longtemps.

     

     

     Le lavoir de la rue de la Blanchisserie

     

     

    Le lavoir de la rue de la Blanchisserie

     

     

    Cette petite, mais indispensable, réparation ne devrait quand même pas mettre à mal les finances de la commune…! Pourquoi attendre que l’état de la couverture se dégrade un peu plus ? À moins que la « restauration » et le « réaménagement » du jardin du centre F. Kuypers (lire ici) et du square du Souvenir (lire ici) n’aient vidé la bourse municipale.

    Au fait, si vous voulez en savoir plus sur les lavoirs de France, une seule adresse : www.lavoirs.org

    Le lavoir de la rue de la Blanchisserie y est bien sûr présent ici et , et même le lavoir (mal en point) de l'ancien hôtel du Pont de Sologne, sur le ru d’Oison également, rue Porte de Sologne/route de Cerdon (ici, un jour de neige).

     

    Le lavoir de la rue de la Blanchisserie

    Lavoir de l'ancien hôtel du Pont de Sologne

     

     

    Avis aux généreux mécènes (en Belgique, en Russie, en Suisse ou ailleurs…) !

     

    Rue de la Blanchisserie, n’oubliez pas de jeter un coup d’œil de l’autre côté du petit pont qui enjambe le ru d’Oison (en face du grand lavoir). Vous y découvrirez cet ancien petit lavoir privé, en bien mauvais état malheureusement, à moitié enfoui sous la verdure (ci-dessous). Là encore, avis aux généreux mécènes !

     

     

      

     

     

     

     

      

     

     

     

     

     

     

     

     

    Petit lavoir, rue de la Blanchisserie

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Info donnée par B. M.-S. (Qu’il en soit remercié)

    Juste à côté, sur le petit parking où se trouvent actuellement les bennes de tri sélectif du Sictom, il y avait autrefois un abreuvoir qui comportait une descente pavée menant au ru d’Oison. Malheureusement, nous n’en avons pas de photo. Si jamais un lecteur en avait une, qu’est-ce que ce serait bien !...

     

     

     

    [Mis en ligne le 8/06/2013]

     


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    Plusieurs lecteurs m’ont fait parvenir des photos de dépôts sauvages de sacs poubelles dans Sully même et aux abords de la commune.

    Je ne peux pas les publier toutes en même temps (j’en ai reçu une trentaine et, de plus, un certain nombre d’entre elles montrent les mêmes lieux), mais en voici quelques-unes.

     

    Avons-nous droit à des poubelles intelligentes parce que nous sommes idiots ?Avons-nous droit à des poubelles intelligentes parce que nous sommes idiots ?Avons-nous droit à des poubelles intelligentes parce que nous sommes idiots ?

    Avons-nous droit à des poubelles intelligentes parce que nous sommes idiots ?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Avons-nous droit à des poubelles intelligentes parce que nous sommes idiots ?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Comme je le disais ici, je ne sais quels sont les moyens dont dispose le Sictom pour résoudre ce problème.

    Il me semble que la question des dépôts autour des points de collecte devrait être plus facile à résoudre que celle des véritables dépôts sauvages « dans la nature ».

    Sur le site Web du syndicat, rien de précis n’est indiqué sur ce problème. Sera-t-il possible de mobiliser une benne et des releveurs pour aller ramasser quelques sacs poubelles dispersés ça et là, même en considérant que les coûts induits seraient dans ce cas reportés sur l'ensemble des usagers ?

    Il ne semble cependant pas impossible de signaler au Sictom de Châteauneuf par courriel ou grâce au formulaire de contact spécial (en ligne) à l’adresse http://www.sictom-chateauneuf.fr/guide-pratique/le-tri/signalez-un-problème-de-conteneur-de-tri ou encore par téléphone (02 38 59 50 25) les lieux où un dépôt sauvage a été repéré. Peut-être le Sictom pourra-t-il éventuellement intervenir.

    Quoi qu’il en soit, il faudra faire preuve d’optimisme et s’armer de patience : le dépôt sauvage que j’ai photographié il y a trois semaines (le 17 mai exactement ; voir ici) est toujours là…

    [Merci à Damien L., Elisab, Grain de poivre, Jean-René et Tipit pour les photos.]

     

     

     

    [Mis en ligne le 6/06/2013]

     


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    Un pont de chemin de fer bon pour la ferraille

     

     

    Fermé ! Plus de trains. Silence ! Plus de coups de klaxon. Désert ferroviaire.

     

    Un pont de chemin de fer bon pour la ferraille

     

    Quand on y pensera, on pourra aussi enlever le panneau.

     

     Un pont de chemin de fer bon pour la ferraille

     

    Aujourd’hui, on semble préférer les trains de poids lourds sur les routes, les particules de diesel cancérigènes, les ponts routiers supplémentaires sur les fleuves et le bitume sur les sols cultivables, en attendant le béton qui suit toujours de près le bitume.

    Tout un symbole : la dernière fois que ce pont ferroviaire (construit de 1877 à 1880) a vraiment été utilisé, c’était suite à l’effondrement en janvier 1985 du pont routier suspendu. Un pont de type Bailey avait alors été posé sur les piles du pont de chemin de fer en mars 1985 avant d’être démonté en novembre 1986, peu de temps après l’inauguration du nouveau pont routier le 23 novembre 1986. Comble de l’ironie : le pont ferroviaire avait alors servi… à faire rouler des voitures !

     

     

     

    [Mis en ligne le 4/06/2013]

     

     


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    Encore un problème de visibilité à un STOP (lire également ici), à l’intersection de la rue des Écoles et du boulevard Jeanne d’Arc.

    Comme les places de stationnement matérialisées le long du trottoir du boulevard Jeanne d’Arc ne s’arrêtent qu’à quelques mètres de l’intersection et qu’une voiture y est immanquablement en stationnement (quand ce n’est pas une camionnette ou un gros 4x4 qui empêchent totalement la visibilité), la vue des véhicules qui arrivent à gauche sur le boulevard est quasi nulle lorsqu’on se trouve au Stop. Dangereux, d’autant que certains automobilistes empruntent le boulevard à une allure plutôt soutenue !

     

    Problème de visibilité à un Stop

    Solution : supprimer les deux places de stationnement les plus proches de l’intersection (ici, celle de la Peugeot noire et celle qui se trouve derrière) de manière à dégager complètement la visibilité à gauche et à permettre la traversée du boulevard ou le tourne-à-droite dans des conditions de sécurité optimales.

    Ou attendre qu’un accident finisse par se produire...

     

     

     

    [Mis en ligne le 2/06/2013]

     


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