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    Depuis la division (une partie piétonnière et une partie cyclable) du trottoir de la rue du Coq (le long des écoles) et la réalisation des pochoirs piéton/cycliste (lire ici), la partie « piste cyclable » était difficilement accessible car dépourvue à ses deux extrémités d’un « bateau » qui aurait permis d’assurer la continuité du cheminement : il fallait en effet descendre de vélo pour l’emprunter et descendre de vélo à l’autre extrémité pour en sortir. Or c’est la qualité de la continuité du cheminement qui fait notamment la qualité – et l’utilité – d’une piste cyclable.

    Placer quelques panneaux et réaliser au pochoir quelques silhouettes ne constituent pas en soi une piste cyclable, même si on constate que trop de municipalités s’en contentent.

    Rue du Coq, il suffisait pourtant d’un tout petit bateau d’une cinquantaine de centimètres aménagé dans la bordure du trottoir et le tour était joué. C’était rageant, d’autant que des bateaux aménagés dans les bordures de trottoir, il y en a des centaines à Sully… pour les voitures !

    Il faut maintenant parler au passé. OUF ! C’est fait ! Enfin… Quelle bonne surprise ! Les bateaux sont là et les cyclistes vont enfin pouvoir emprunter cette piste cyclable devenue fonctionnelle.

    Bravo à la Municipalité pour cette petite réalisation qui facilitera grandement la vie des cyclistes empruntant cette rue à contre-sens (en toute légalité !).

    Avant

    Les bateaux de la rue du Coq

    Après

    Les bateaux de la rue du Coq Les bateaux de la rue du Coq

     

     

     

    [Mis en ligne le 25/02/2013]

     

      


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  • Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)Sully-sur-Loire, une ville qui ne manque pas de panache(s)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    D’où que l’on arrive, Sully-sur-Loire se signale de loin par plusieurs gros panaches de fumée blanche plus ou moins visibles selon l’endroit d’où l’on vient, le sens du vent et sa force. Lorsqu’on arrive perpendiculairement à ces panaches, l’effet est assez spectaculaire. Si le ciel est noir, juste avant un orage d’été par exemple, le spectacle est même assez grandiose.

    Ces volumineux panaches, au nombre de six, sont ceux de l’usine Kronofrance (deux panaches), à Sully même, et ceux – quatre quand toutes les tours de refroidissement sont en activité – de la centrale nucléaire de Dampierre-en-Burly, à 11 kilomètres de là.

    De loin, ces panaches sans cesse changeants – essayez à voix haute – signalent la ville de Sully-sur-Loire bien plus que son château – qui n’apparaît en fait qu’au tout dernier moment et fait bien pâle figure face aux géants de fumée, même s’il est en bonne place sur les cartes postales et autres documents à vocation touristique.

    Ces panaches, presque horizontaux lorsque le vent souffle fort, tendus en ligne droite dès leur sortie des cheminées ou des tours de refroidissement, se déploient tranquillement, par une journée sans vent, montant lentement, presque paresseusement, à l’assaut du ciel.

    Sujets de choix pour le photographe, ils s’opposent à l’épaisseur solide, massive et immobile du château, qui leur vole – peut-être injustement – la vedette.

    Ces somptueux panaches de fumée, visibles de si loin, changeants mais toujours présents, ne seraient-ils pas finalement les véritables stars de Sully ?

     

     

    [Mis en ligne le 7/01/2013]

     

     


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  • Vol de grues cendréesVol de grues cendrées

     

     

     

     

     

     

     

     

    Plusieurs vols de grues cendrées cette semaine.

     

    Comme dit le proverbe sullylois :

     

    Grues cendrées en février,

    Été en juillet.

     

    Vous ne le connaissiez pas ?

    Pour en savoir plus sur la migration de ces magnifiques oiseaux, lire ici.

     

     

     

    [Mis en ligne le 23/02/2013]


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    Rue du Puits à l'Avoine, février 2013

     

     

    Y a-t-il beaucoup de rues qui, en France, portent ce curieux nom ? Serait-ce la seule « rue du Puits à l’avoine » de notre pays ?

    Voici en tout cas ce que nous en disent Denis Jeanson (ici) :

    « Rue du Puits-à-l’Avoine. Cne de Sully-sur-Loire. Rue du Puits à l’Avoine, 4 novembre 1955 (Délibération du Conseil Municipal). »

    et Jean Mesqui (Bernard Barbiche, Françoise Bercé, Martine Cornède, Jean Mesqui, Christian Poitou, Isabelle Reillé, Histoire de Sully-sur-Loire – Le château, la ville, le terroir, Éditions Horvath, Roanne, 1986, p. 112)

    « La Grande Rue, sinueuse, reliait porte du Guichet et porte du Marché aux Bêtes : ainsi se trouve manifestée la prédominance de l’itinéraire nord-sud, Île de France-Berry, déjà soulignée plus haut. À l’angle de cette Grande Rue et l’autre axe de la ville, allant de la porte Sologne au château, se trouvait le Martroi, place principale, avec un puits appelé « puits à l’avenne » (puits à l’avoine ?). Au sud, près de la porte de Sologne, se trouvait le grenier à sel royal, implanté du temps de Philippe Auguste. Au nord, se trouvait l’Hôtel-Dieu, fondé par les seigneurs de Sully. »

    Quoi qu’il en soit, elle n’est pas bien gaie aujourd’hui, cette petite rue sombre et déserte…

     

     

     

     

    [Mis en ligne le 20/02/2013]

     

     


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    Début décembre 2012, les tilleuls de l’avenue de Béthune situés devant le monument aux morts (l’ancienne Promenade du Pilier, qui comptait d’ailleurs des tilleuls de chaque côté de la chaussée) étaient abattus sans crier gare (lire ici).

    Parmi les Sullylois à qui j’ai pu poser la question, personne ne m’a indiqué avoir été informé ni même capable de dire quel était le projet de la Municipalité. Je ne le suis pas davantage.

    Encore une occasion manquée (lire ici et ) de faire preuve d’information et de transparence. Ce n’est pourtant pas une fatalité, comme le prouve ce tract distribué dans les boîtes à lettres des habitants de Saint-Denis-de-l’Hôtel (merci à Arnaud de me l’avoir transmis) les avertissant des coupes d’arbres prévues, explications à l’appui.

     

    Tract boîtes à lettres_Mairie de St-Denis-de-l'Hôtel

     

    C’est bien, la transparence, non ?

    Allons, monsieur le maire de Sully, un petit effort, s’il vous plaît...

     

     

    [Mis en ligne le 18/02/2013]

     

     


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