Il y a tellement d'endroit à restaurer dans notre cité, il est vrai pas si important que l'exemple sur les photos. Sullylois(es) à vos appareils photos et faites des photographies de ce que vous jugez mauvais et bien. Vous trouverez bien plus de mauvaises choses. Les élus eux-mêmes sont en bien mauvais états.

Merci de vous intéresser à notre malheureuse allée! Nous sommes entièrement d'accord avec vous. A plusieurs reprises (depuis août 2006), la mairie a été alertée de la détérioration de la rive du ru d'Oison. Rien n'a été fait, si ce n'est l'abattage des beaux tilleuls centenaires et l'arrachage de la haie, ce qui n'a fait qu'aggraver la situation (merci aussi d'en avoir parlé).

Comme trop souvent, ce n'est la responsabilité de personne, puisque ce qui concerne le ru incomberait à la communauté de communes du Sullias (c'est ce qu'on nous dit aujourd'hui). Bref, responsabilité diluée donc, au final, pas de responsable. La balle va passer d'une main à l'autre. Rien que du classique! Bref, pour les décideurs, il est urgent d'attendre. On nous dit (courrier du maire du 1/03/2013) que quelque chose sera entrepris "dans le courant des mois à venir" (synonyme administratif sullylois de la Saint-Glinglin ou des calendes grecques?). Nous sommes échaudés car on nous a déjà fait le coup pour l'assainissement de la rue, budgétisé, voté, annoncé et prévu pour 2009, avant d'être annulé (même pas reporté) purement et simplement (nous l'attendons toujours, inutile de le dire).

Sauf que ça presse vraiment maintenant. Vos photos le montrent bien. La berge est pourrie d'un bout à l'autre de la rue et elle ne résistera pas aux pluies d'orage de cet été. Quand il sera vraiment trop tard, que tout sera éboulé, qu'il faudra fermer la rue à la circulation ou qu'un accident sera arrivé, peut-être que quelqu'un se décidera enfin à lever le petit doigt.

Comme vous le faites très justement remarquer, la municipalité "restaure" ce qui est en bon état dans certains endroits de la ville et ne répare pas ce qui est complètement délabré dans d'autres endroits. Nous ne comprenons pas.