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    Amour platanique

    Rejet de platane (route de Cerdon) - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

     

     

    C’est fou ce que ce platane veut vivre ! (Lire également ici « La fureur de vivre »).

     

    Abattu sans crier gare – et sans motif valable – un beau jour de début février 2017 (lire ici « Et d’un ! À propos de l’abattage d’un des platanes de la route de Cerdon » et ici « Les platanes de la route de Cerdon (suite) »), ce platane n’en finit pas de se raccrocher à la vie.

     

    Pour n'oublier ni cet arbre ni son abattage.

     

    Amour platanique 

     

    Amour platanique

    Cliquer sur les photos pour les agrandir

     

     

    Pour en savoir plus sur les platanes qui, peu à peu, disparaissent sub rosa du paysage et du patrimoine arboré communal (le maire a sans doute une dent contre les platanes...), lire également ici « à quoi sert un platane ? »ici « Platanes et résistance »ici « Le platane et le garage » et ici « La flèche et le platane ».

     

     

     

    [Mis en ligne le 17/11/2019]

     


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    Pas celui de Torricelli, mais celui des villes cyclables.

    Vous ne savez pas ce qu’est le « baromètre des villes cyclables » ? Vous en saurez davantage en lisant l’article d’Olivier Razemon, déjà souvent cité dans ce blog, en cliquant sur ce lien ci-après ou en cliquant sur l’icône ci-dessous.

     

    Question de baromètreArticle d'Olivier Razemon, Municipales : Les maires espèrent une bonne note au Baromètre des villes cyclables

     

    Si vous ne l’avez pas encore fait pour notre bonne commune, vous pouvez répondre au questionnaire en cliquant sur ce lien (au plus tard le 30 novembre).

    Rappel : il faut 50 réponses minimum par commune pour que les avis donnés soient pris en compte dans le Baromètre. Il y en a déjà au moins un…

    Ce n’est jamais une perte de temps de donner son avis. À vos cale-pieds (non, claviers…!).

     

     

     

    [Mis en ligne le 13/11/2019]

     

     

     


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    Les monuments aux morts de la Grande Guerre dans le Loiret

     Inauguration du monument aux morts communal (25 juin 1922). En le comparant au monument actuel, vous noterez les modifications apportées ultérieurement - Cliquer sur l'image pour l'agrandir

     

     

    On a beau faire, pas facile de s’y faire…

    Chaque année, c’est pareil quand vient le 11 novembre et qu’on se dit que des êtres humains doués de raison (?) se sont amusés, comme s’il s’agissait d’une blague et d’un jeu, à mettre un terme à la plus grande boucherie humaine un 11/11 à 11 heures. Pour faire drôle, symétrique et joli (?).

     

    Les monuments aux morts de la Grande Guerre dans le Loiret

     

    Mais comment peut-on en arriver là ?

     

    Fiction

    Vingt-quatre heures plus tard, sous une pluie ininterrompue qui rendit les recherches difficiles, deux brancardiers retrouvèrent le benjamin des Montaurian, trente-quatrième rescapé d'une compagnie qui comptait avant l'assaut cent quatre-vingt cinq hommes. Il avait glissé, aspiré par la gueule coléreuse de la terre, au fond d'un entonnoir de plus de huit mètres de profondeur creusé par l'explosion d'un fourneau de mine. Ses sauveteurs lui racontèrent qu'ils ne l'avaient repéré qu'au troisième passage, tant la couche de boue qui le recouvrait était épaisse. Et lorsque, après plusieurs tentatives, ils étaient enfin parvenus à descendre dans le cratère au fond duquel remuait son corps envasé, ils avaient découvert qu'Alphonse n'y était pas seul. Il serrait dans ses bras le cadavre d'un ennemi, un gamin de dix-huit ans à peine, dont la main droite tenait encore une grenade dégoupillée qui par miracle n'avait pas explosé.

     

     Jeanne Champion, Les frères Montaurian, Grasset, 1979

     

     

    Réalité

    Officiers, sous-officiers et soldats du groupement Mangin,

    En quelques heures d'un assaut magnifique, vous avez enlevé d'un seul coup, à votre puissant ennemi, le terrain hérissé d'obstacles et de forteresses du nord-est de Verdun, qu'il avait mis dix-huit mois à arracher, par lambeaux, au prix d'efforts acharnés et de sacrifices considérables. Vous avez ajouté de nouvelles et éclatantes gloires à celles qui couvrent les drapeaux de l'armée de Verdun.

    Au nom de cette armée, je vous remercie. Vous avez bien mérité de la Patrie.

    Général Nivelle, commandant de l'armée de Verdun, 25 octobre 1916

     

     

    Lire également ici, à propos du monument aux morts de notre commune, « Monument aux morts ».

    L’occasion, s’il en fallait une, de (re)lire cette publication consacrée aux Monuments aux morts de la Grande Guerre dans le Loiret, ci-dessous.

     

     

     
     

     

     

     

    [Mis en ligne le 09/11/2019]

     


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