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    De l’inutilité des dispositifs anti-deux roues dans la Promenade des Douves… sauf pour les personnes à mobilité réduite 

    De l’inutilité des dispositifs anti-deux roues dans la Promenade des Douves… sauf pour les personnes à mobilité réduite 

    Dispositifs anti-deux roues Promenade des Douves - Cliquer sur les photos pour les agrandir

     

     

    Pour avoir vu il y a peu avec quelle facilité deux gamins à vélo se riaient du dispositif anti-deux roues intallé à l’une des entrées de la Promenade des Douves (côté place Henri IV), on a la certitude que ces dispositifs ne dissuadent que ceux qui veulent l’être… sauf – et c’est là tout le problème – les personnes à mobilité réduite, notamment en fauteuil, qui se voient, elles, réellement bloquées par ces deux dispositifs leur rendant impossible l’accès à la Promenade. On s’en était ému ici et ici en s’étonnant que cette belle promenade qui permet de faire le tour du château, en partant du parking du Chemin de la Salle verte et en y revenant via l’Avenue de Béthune et le pont aux Prêtres, leur était inaccessible.

    Les photos ci-dessous montrant des traces de pneus de freinage de deux roues sur le sol sableux de la promenade des Douves sont une preuve, s’il en fallait encore une, de la présence de deux roues sur cette promenade (si vous passez par là de temps à autre, il vous est sans doute aussi arrivé d’en croiser), alors que les dispositifs sont censés les en éloigner.

     

    De l’inutilité des dispositifs anti-deux roues dans la Promenade des Douves… sauf pour les personnes à mobilité réduite 

    De l’inutilité des dispositifs anti-deux roues dans la Promenade des Douves… sauf pour les personnes à mobilité réduite

    De l’inutilité des dispositifs anti-deux roues dans la Promenade des Douves… sauf pour les personnes à mobilité réduite

    De l’inutilité des dispositifs anti-deux roues dans la Promenade des Douves… sauf pour les personnes à mobilité réduite

    Traces de pneus de deux roues sur la Promenade des Douves, preuve que les dispositifs anti-deux roues sont d'une efficacité plus que limitée - Cliquer sur les photos pour les agrandir

     

    Pourquoi, au moins à titre d’essai, et puisqu’ils n’ont qu’une efficacité très limitée, ne pas supprimer ces dispositifs cet été au moment de l’affluence touristique, de manière à laisser accessible aux personnes à mobilité réduite cette promenade si agréable (sans doute la plus agréable de Sully à l'écart du trafic automobile) dont elles sont aujourd’hui si injustement privées ?

     

     

     

    [Mis en ligne le 6/06/2015]

     


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    Carte postale ancienne publiée dans l'ouvrage aujourd'hui épuisé de Dany Lemelin, Sully-sur-Loire : A la recherche du passé suspendu (1999), page 126. L’auteur nous indique que cette carte postale est oblitérée en date du 24 octobre 1906 - Cliquer sur l'image pour l'agrandir

     

     

    Nous sommes dans la rue du Coq au début des années 1900, sur la berge sud du ru d’Oison. Le ru coule toujours au même endroit à l’air libre, avant de disparaître en sous-sol à l’angle de la rue du Coq et de la rue des Petits Fossés pour ne ressortir à l’air libre qu’une fois franchie la levée au niveau du Square du Souvenir (lire ici).

     

     

    Aujourd’hui

    La rue du Coq au même endroit aujourd'hui - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

     

    Les jardins, à droite des lavandières, sont ceux des maisons dont la façade donne aujourd’hui sur le boulevard Jeanne d’Arc. C’étaient, au début des années 1900, essentiellement des vergers.

    En arrière-plan, à gauche de la photo, on aperçoit la flèche du clocher de l’église Saint-Ythier.

    La porte isolée au porche assez monumental donnant accès au jardin depuis la rue n’existe plus. Actuellement, deux petits ponts privés jetés sur le ru permettent d’accéder aux jardins des maisons concernées.

     

     

    Les deux petits ponts sur le ru d'Oison - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

     

    De nos jours, une partie de ces anciens jardins subsistent encore, même si plusieurs constructions annexes s’y sont installées au fil du temps et si les jardins nourriciers sont devenus des jardins d’agrément.

    Les lavandières ont quant à elles entièrement disparu du paysage sullylois. Seules quelques photos anciennes, dont celle-ci – et les souvenirs des plus anciens d’entre nous – en perpétuent la mémoire. Il ne nous reste que la laverie automatique située à quelques pas de là, au bout de la rue des Petits Fossés, à côté de l’Hôtel Burgevin, pour en perpétuer à sa façon le souvenir mécanisé et ironique.

     

     

     

     

    [Mis en ligne le 3/06/2015]

     

     

     

    Dernière minute Dernière minute Dernière minute Dernière minute

     

    Il a fait très chaud cet après-midi (vendredi 5 juin) à Sully.

    L'aigrette blanche étend ses ailes pour protéger sa progéniture du soleil ardent. C'est pas rafraîchissant, ça ?

     

    Les lavandières de la rue du Coq

    Zone ornithologique (vendredi 5 juin 2015, 17h27)

    Merci à B. M.-S. pour la photo 

     

     


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