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    Soyons indulgent.

    Les comptes rendus (uniquement « sommaires » ; pourquoi pas complets au fait, comme on se le demandait ici « Résumons » ?) sont depuis un certain temps (lire ici « Il manque une rubrique sur le site Internet de la ville » et ici « Où sont les comptes rendus des conseils municipaux sur le site Internet ? ») consultables en ligne sur le site Web communal officiel. Les fichiers sont au format PDF, ce qui est très bien.

    À ceci près qu’ils ne sont téléchargeables que s’ils sont équipés d’un lien cliquable. Hé oui, sans lien, t’as rien !

    L'icône du compte rendu du conseil municipal de mai dernier est bien là, mais le lien n'y est pas (voir copie d'écran ci-dessous, et, en vrai, en cliquant ici).

     

    Sans lien, ça sert à rien

    Copie d'écran de la page Comptes-rendu(sic) et délibérations du site Web communal officiel - Cliquer sur l'image pour l'agrandir

     

     

    Espérons donc que ce lien manquant sera rapidement mis en place afin de pouvoir consulter le compte rendu (complet, n’est-ce-pas ; on peut toujours croire en l’engagement de transparence pris avant les élections municipales par l’équipe en place !) de la réunion du conseil municipal de mai dernier. Si ce billet ne tombe pas sous les yeux d'un aveugle (ou dans l'oreille d'un sourd), peut-être que tout n’est pas perdu...

     

     

     

    [Mis en ligne le 30/06/2017]

     

     

     

    MISE À JOUR 8/07/2017

    Ça y est ! Le lien a été remis et le document est désormais accessible. C'est mieux que rien...

     


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    Après avoir donné ici « La ruine-de-Rome est aussi à Sully », dans un contexte de retour des plantes sauvages en ville suite à l’interdiction de l’emploi des produits phytosanitaires dans l’espace public, un petit coup de projecteur sur la cymbalaria muralis, tournons aujourd’hui nos regards vers une autre plante commune des trottoirs et des jonctions mur-trottoir qu’elle affectionne particulièrement. Il s’agit de la laitue scariole (lactuca serriola), sans doute une très lointaine ancêtre génétique de notre laitue cultivée (lactuca sativa). Quoi qu’il en soit, c'est un latex blanc comme le lait qui s’écoule lorsqu’on en casse (gentiment) une tige, comme chez une laitue fraîchement cueillie dans le jardin.

     

    De la laitue sur nos trottoirs

     

    De la laitue sur nos trottoirs

    Laitue scariole sur un trottoir du centre-ville (ne la cherchez plus : elle a été arrachée !) - Cliquer sur les photos pour les agrandir

     

     

     

    Évidemment, comme son homologue civilisée, elle est comestible, du moins lorsque les pousses sont toutes jeunes. Après, il faut oublier.

    L’histoire raconte même que ce latex blanchâtre était autrefois recueilli et qu’une fois séché, il était utilisé et fumé par nos ancêtres comme substitut à l’opium. L'ami Marx se serait-il trompé et la laitue serait-elle le véritable opium du peuple ?

     

     

     

    [Mis en ligne le 28/06/2017]

     


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    On a tout, à Sully. Et dire que certains partent ailleurs pour découvrir autre chose. Mais quoi, puisqu’on a tout ici ?

    Prenez par exemple ce topiaire, déjà évoqué ici « L'arbre et le non-arbre » et ici « Arbre-acadabrantesque ».

    Un topiaire punk, vous en connaissez beaucoup ailleurs ?

     

    Topiaire punk 

    Topiaire ébouriffé (Passage des Douves) : ça décoiffe ! - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

     

     

    Où, sinon dans notre bonne commune ?

     

     

    [Mis en ligne le 26/06/2017]

     


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