Pas celui de Torricelli, mais celui des villes cyclables.

Vous ne savez pas ce qu’est le « baromètre des villes cyclables » ? Vous en saurez davantage en lisant l’article d’Olivier Razemon, déjà souvent cité dans ce blog, en cliquant sur ce lien ci-après ou en cliquant sur l’icône ci-dessous.

Article d'Olivier Razemon, Municipales : Les maires espèrent une bonne note au Baromètre des villes cyclables

Si vous ne l’avez pas encore fait pour notre bonne commune, vous pouvez répondre au questionnaire en cliquant sur ce lien (au plus tard le 30 novembre).

Rappel : il faut 50 réponses minimum par commune pour que les avis donnés soient pris en compte dans le Baromètre. Il y en a déjà au moins un…

Ce n’est jamais une perte de temps de donner son avis. À vos cale-pieds (non, claviers…!).

[Mis en ligne le 13/11/2019]

 Inauguration du monument aux morts communal (25 juin 1922). En le comparant au monument actuel, vous noterez les modifications apportées ultérieurement - Cliquer sur l'image pour l'agrandir

On a beau faire, pas facile de s’y faire…

Chaque année, c’est pareil quand vient le 11 novembre et qu’on se dit que des êtres humains doués de raison (?) se sont amusés, comme s’il s’agissait d’une blague et d’un jeu, à mettre un terme à la plus grande boucherie humaine un 11/11 à 11 heures. Pour faire drôle, symétrique et joli (?).

Mais comment peut-on en arriver là ?

Fiction

Vingt-quatre heures plus tard, sous une pluie ininterrompue qui rendit les recherches difficiles, deux brancardiers retrouvèrent le benjamin des Montaurian, trente-quatrième rescapé d'une compagnie qui comptait avant l'assaut cent quatre-vingt cinq hommes. Il avait glissé, aspiré par la gueule coléreuse de la terre, au fond d'un entonnoir de plus de huit mètres de profondeur creusé par l'explosion d'un fourneau de mine. Ses sauveteurs lui racontèrent qu'ils ne l'avaient repéré qu'au troisième passage, tant la couche de boue qui le recouvrait était épaisse. Et lorsque, après plusieurs tentatives, ils étaient enfin parvenus à descendre dans le cratère au fond duquel remuait son corps envasé, ils avaient découvert qu'Alphonse n'y était pas seul. Il serrait dans ses bras le cadavre d'un ennemi, un gamin de dix-huit ans à peine, dont la main droite tenait encore une grenade dégoupillée qui par miracle n'avait pas explosé.

 Jeanne Champion, Les frères Montaurian, Grasset, 1979

Réalité

Officiers, sous-officiers et soldats du groupement Mangin,

En quelques heures d'un assaut magnifique, vous avez enlevé d'un seul coup, à votre puissant ennemi, le terrain hérissé d'obstacles et de forteresses du nord-est de Verdun, qu'il avait mis dix-huit mois à arracher, par lambeaux, au prix d'efforts acharnés et de sacrifices considérables. Vous avez ajouté de nouvelles et éclatantes gloires à celles qui couvrent les drapeaux de l'armée de Verdun.

Au nom de cette armée, je vous remercie. Vous avez bien mérité de la Patrie.

Général Nivelle, commandant de l'armée de Verdun, 25 octobre 1916

Lire également ici, à propos du monument aux morts de notre commune, « Monument aux morts ».

L’occasion, s’il en fallait une, de (re)lire cette publication consacrée aux Monuments aux morts de la Grande Guerre dans le Loiret, ci-dessous.

[Mis en ligne le 09/11/2019]

Des fois, on se demande.

À peine vient-on de voir plusieurs anciens platanes abattus route de Cerdon (lire ici « Les platanes de la route de Cerdon »), pour un motif inconnu à ce jour, que le tronçonneur en chef récidive dans le parc de l’ancien restaurant justement baptisé « Les Magnolias » (boulevard Jeanne d’Arc) en hommage à ces arbres, en abattant un très ancien magnolia en parfaite santé.

Photo de la façade de l'ex-restaurant Les Magnolias - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

Là encore, le motif de l’abattage de ce vieux sujet nous échappe. Le pire (si c’était possible) serait que sa suppression soit motivée par la création d’un énième parking…

Quand finira-t-on par comprendre que les arbres urbains anciens font partie du patrimoine de la commune et sont tout sauf des variables d’ajustement et du mobilier urbain en cas de réaménagement des espaces (et plus encore pour aménager un parking) ?

Un arbre ancien en parfaite santé que l’on abat sans autre forme de procès est une perte irrémédiable pour le patrimoine communal, et ce ne sont pas quelques arbustes sur-tuteurés qui peuvent le remplacer (lire également ici « Replanter dix arbres au lieu d’un vieux est une triple arnaque »).

Ceux qui prennent ces décisions imbéciles ne l’ont sans doute, malheureusement, pas compris.

AVANT : On aperçoit le magnolia par dessus le mur - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

AUJOURD'HUI : Plus rien... Le tronçonneur en chef est passé par là, malheureusement - Cliquer sur la photo pour l'agrandir

[Mis en ligne le 4/11/2019]

Si par malheur vous n’êtes pas encore végétarien (personne n'est parfait), vous serez ravi-e d’apprendre que la loi Egalim (loi n° 2018-938 du 30 octobre 2018) impose aux cantines scolaires la mise en place d’un repas végétarien au moins une fois par semaine, et ce à compter du 1^er novembre 2019 au plus tard.

 Loi EGalim instaurant l'obligation d'un repas végétarien au moins une fois par semaine dans les cantines scolaires à compter du 1/11/2019

Dans notre bonne commune aussi, bien sûr.

Les papilles gustatives des loupiots communaux vont donc avoir la chance de découvrir (ce sera sans doute le cas pour la très grande majorité d’entre eux) l’alimentation sans viande.

Rappelons qu’actuellement 69 % des enfants, en cantine scolaire, sont contraints (pas d'autre choix) de manger de la viande ou du poisson tous les jours (Source : GreenPeace, ici).

Dans cette optique, un repas végétarien par semaine, c’est peu, mais c’est déjà ça.

Quelle va être la composition du menu végétarien hebdomadaire communal ? Réponse ici, dès le 1^er novembre, en cliquant sur le bouton « Menu du mois »...

Copie d'écran du site Web communal officiel - Cliquer sur l'image pour l'agrandir

Pour mieux comprendre l'intitulé de ce billet, lire également ici « Tiens, voilà du boudin ».

[Mis en ligne le 28/10/2019]

Les établissements recevant du public (ERP) doivent impérativement (c’est la loi du 11 février 2005) s’adapter à l’accueil des personnes à mobilité réduite (PMR). Notre hôtel de ville s’est donc équipé d’un ascenseur permettant notamment aux personnes en fauteuil d’accéder à l’étage.

Sully Mag n° 22 (septembre 2019), page 17

Voilà un équipement municipal utile qui bénéficiera à tous.

Prenons donc l’ascenseur, si le cœur nous en dit…

[Mis en ligne le 25/10/2019]